Quand le racisme ordinaire ne passe plus, l’État le rend exceptionnel !
La couleur de peau ou l’accent louche ont permis jusqu’à présent d’identifier le danger intérieur. Au point que les classes dominantes comme les individus “décomplexés” n’hésitent plus à ethniciser les problèmes sociaux comme les résistances qui en découlent. La question du terrorisme fournit l’opportunité de cibler les classes dangereuses en jouant sur le triptyque Islam/islamisme/islamophobie. Derrière ces concepts ambigus à dessein se dissimulent assez mal une nouvelle forme de racisme d’origine comme de classe qu’il importe de débusquer.
Les trois textes suivants offrent quelques analyses utiles pour en débrouiller l’instrumentalisation politique, au-delà des discours convenus.
Dossier à consulter ici.